Du renfort en Guadeloupe. Le ministre des Outre-mer Sébastien Lecornu a annoncé lundi 29 novembre à Pointe-à-Pitre l’envoi d’un escadron de 70 gendarmes mobiles et 10 membres du GIGN supplémentaires, pour faire face à la violence durant la crise sociale dans l’archipel. « Il nous faut tenir, permettre aux forces de l’ordre de se régénérer » et « procéder aux déblocages », a-t-il justifié.
Après avoir rencontré très rapidement l’intersyndicale, le ministre a appelé, lors d’une conférence de presse, à une « prise de conscience collective » au sujet des violences qui « prennent pour cible les forces de l’ordre ». Il y a des « policiers blessés ». « Lorsqu’on tire et qu’on arrose au 9 millimètres dans les rues », c’est « un miracle qu’un enfant de 9 ou 10 ans » ne se soit pas « retrouvé sous ces balles », a-t-il insisté. « Il y a des barrages sur lesquels des bouteilles de gaz ont été installées, il faut le dire », a-t-il assuré.
120 interpellations depuis le début de la crise
Le ministre a critiqué les responsables syndicaux qui « ont commencé à vouloir chercher des amnisties pour celles et ceux qui ont voulu délibérément assassiner des policiers ou des gendarmes ». Selon lui, ils participent à une « jonction dangereuse entre ce qu’il se passe la nuit et la journée » lors du mouvement social. Le membre du gouvernement y voit « une des grandes différences avec ce qu’il se passe en Martinique », où « la situation n’est en rien comparable ».
Du renfort en Guadeloupe. Le ministre des Outre-mer Sébastien Lecornu a annoncé lundi 29 novembre à Pointe-à-Pitre l’envoi d’un escadron de 70 gendarmes mobiles et 10 membres du GIGN supplémentaires, pour faire face à la violence durant la crise sociale dans l’archipel. « Il nous faut tenir, permettre aux forces de l’ordre de se régénérer » et « procéder aux déblocages », a-t-il justifié.
Après avoir rencontré très rapidement l’intersyndicale, le ministre a appelé, lors d’une conférence de presse, à une « prise de conscience collective » au sujet des violences qui « prennent pour cible les forces de l’ordre ». Il y a des « policiers blessés ». « Lorsqu’on tire et qu’on arrose au 9 millimètres dans les rues », c’est « un miracle qu’un enfant de 9 ou 10 ans » ne se soit pas « retrouvé sous ces balles », a-t-il insisté. « Il y a des barrages sur lesquels des bouteilles de gaz ont été installées, il faut le dire », a-t-il assuré.
120 interpellations depuis le début de la crise
Le ministre a critiqué les responsables syndicaux qui « ont commencé à vouloir chercher des amnisties pour celles et ceux qui ont voulu délibérément assassiner des policiers ou des gendarmes ». Selon lui, ils participent à une « jonction dangereuse entre ce qu’il se passe la nuit et la journée » lors du mouvement social. Le membre du gouvernement y voit « une des grandes différences avec ce qu’il se passe en Martinique », où « la situation n’est en rien comparable ».
Du renfort en Guadeloupe. Le ministre des Outre-mer Sébastien Lecornu a annoncé lundi 29 novembre à Pointe-à-Pitre l’envoi d’un escadron de 70 gendarmes mobiles et 10 membres du GIGN supplémentaires, pour faire face à la violence durant la crise sociale dans l’archipel. « Il nous faut tenir, permettre aux forces de l’ordre de se régénérer » et « procéder aux déblocages », a-t-il justifié.
Après avoir rencontré très rapidement l’intersyndicale, le ministre a appelé, lors d’une conférence de presse, à une « prise de conscience collective » au sujet des violences qui « prennent pour cible les forces de l’ordre ». Il y a des « policiers blessés ». « Lorsqu’on tire et qu’on arrose au 9 millimètres dans les rues », c’est « un miracle qu’un enfant de 9 ou 10 ans » ne se soit pas « retrouvé sous ces balles », a-t-il insisté. « Il y a des barrages sur lesquels des bouteilles de gaz ont été installées, il faut le dire », a-t-il assuré.
120 interpellations depuis le début de la crise
Le ministre a critiqué les responsables syndicaux qui « ont commencé à vouloir chercher des amnisties pour celles et ceux qui ont voulu délibérément assassiner des policiers ou des gendarmes ». Selon lui, ils participent à une « jonction dangereuse entre ce qu’il se passe la nuit et la journée » lors du mouvement social. Le membre du gouvernement y voit « une des grandes différences avec ce qu’il se passe en Martinique », où « la situation n’est en rien comparable ».
Du renfort en Guadeloupe. Le ministre des Outre-mer Sébastien Lecornu a annoncé lundi 29 novembre à Pointe-à-Pitre l’envoi d’un escadron de 70 gendarmes mobiles et 10 membres du GIGN supplémentaires, pour faire face à la violence durant la crise sociale dans l’archipel. « Il nous faut tenir, permettre aux forces de l’ordre de se régénérer » et « procéder aux déblocages », a-t-il justifié.
Après avoir rencontré très rapidement l’intersyndicale, le ministre a appelé, lors d’une conférence de presse, à une « prise de conscience collective » au sujet des violences qui « prennent pour cible les forces de l’ordre ». Il y a des « policiers blessés ». « Lorsqu’on tire et qu’on arrose au 9 millimètres dans les rues », c’est « un miracle qu’un enfant de 9 ou 10 ans » ne se soit pas « retrouvé sous ces balles », a-t-il insisté. « Il y a des barrages sur lesquels des bouteilles de gaz ont été installées, il faut le dire », a-t-il assuré.
120 interpellations depuis le début de la crise
Le ministre a critiqué les responsables syndicaux qui « ont commencé à vouloir chercher des amnisties pour celles et ceux qui ont voulu délibérément assassiner des policiers ou des gendarmes ». Selon lui, ils participent à une « jonction dangereuse entre ce qu’il se passe la nuit et la journée » lors du mouvement social. Le membre du gouvernement y voit « une des grandes différences avec ce qu’il se passe en Martinique », où « la situation n’est en rien comparable ».
