Serait-ce le dernier
Le ministre a critiqué les responsables syndicaux qui "ont commencé à vouloir chercher des amnisties pour celles et ceux qui ont voulu délibérément assassiner des policiers ou des gendarmes". Selon lui, ils participent à une "jonction dangereuse entre ce qu'il se passe la nuit et la journée" lors du mouvement social. Le membre du gouvernement y voit "une des grandes différences avec ce qu'il se passe en Martinique", où "la situation n'est en rien comparable".